jeudi 24 janvier 2008

Traderman...Superman...

Enorme respect au type qui a nické la société générale (la banque des élitistes) de 4 milliards, ou 5 peu importe. Toutes façons, 1 ou 20 milliards, pour moi c'est pareil. Ce type est un génie. Si j'étais président, je lui remettrais la légion d'honneur. La révolution ne se fera pas dans la rue, mais derrière un écran...Revolution.com...pour reprendre un titre des NoOne. Certe sans sueur. Je rêve de dizaines, de centaines de traders fous. Quelles étaient les motivations du type? Enrichissement personnel (putain, j'en doute) ? Anarchisme économique ? J'en sais rien mais c'est beau. Belle preuve ("encore", dois-je le préciser?) que nos sociétés ont les couilles sous le couperet. Petites pensées au PDG de la société générale et à son numéro deux qui refusent leur salaire pendant 6 mois à cause de cette belle histoire. Avec quoi boufferont-ils leur caviar?? Envoyez vos dons, je transmettrai.
Et Combien de milliards (fictifs? réels?) se sont envolés avec l'histoire des subprimes?? Je ne pige que dalle à la bourse, aux investissements financiers. C'est un truc de pervers, de salauds, d'enculés, de fils de pute. Criminels en col blanc qui s'achètent leur coke avec leur saloperie de spéculation. Combien de morts ont-ils sur la conscience? Combien de collectionneurs de Rolex? Y'en a qui font d'la taule pour avoir chourré une tranche de jambon chez carrouf'. Ouais, j'suis caricatural mais j'aime bien. Quoique tout juste. On en chiera tous quand tout ça va réellement péter. Ca a déjà commencé. J'ai mis le champagne au frais. A côté des petits-fours. Yeah.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

c'est sûr que le gars c'est pas un bouc émissaire? ya pas d'autres responsables...bizarre cete hisoire quand meme. Oui, un jour ça va péter...mais quand. Une anarchie à la mad max me plairaît assez.

Anonyme a dit…

En fait, c'est pas lui le responsable...c'est la femme de ménage qui passait par là et qui avait rigoureusement observé ces collègues traders et qui s'est dit : "bof, pourquoi pas moi après tout". Toujours se méfier des femmes de ménage.