mercredi 19 décembre 2007

Hollidays are coming soon...

Putain, j'suis vert. J'aurais dû être en vacances depuis au moins 5 heures quant à la dernière minute (à 18h30) on me demande un foutu abstract pour un congrès en Italie. Deadline : demain. Merde. En plus ça concerne une partie de mon taf que je ne maîtrise, euh, pas vraiment. Re-enplus, j'suis une buse en anglais. Ma technique : choper 2-3 publies dans le domaine, faire un mix des intros, dire que c'est 'achement original ce qu'on fait (et qu'on va sauver la planète avec), balancer 1 ou 2 graphs, et voilà. Des fois, j'aimerais être un lémurien, un paresseux ou un koala.

Allez, je finis ma soupe au cerfeuille et j'y retourne. Et après vacances.

lundi 17 décembre 2007

Partie fine au palais...(suite de la suite)...la fin quoi!

Je m’excuse platement des jeux de mots de merde et des effets spéciaux approximatifs. Je m’excuse par avance envers les âmes pures et sensibles pour certaines scènes très explicites et très bien imagées. Je m’exc…mais nan, je plaisante, je m’excuse en rien. On me prend pour qui, quand même...

Finalement, Cracrafi avait gagné la partie de Dictator-Buisness-School-Fuck Humanity. La partie avait été serrée. L’empereur, très fairplay ce jour-là, avait offert à Cracrafi une partie de chasse privée pour récompense. 3 espèces en voies de disparition avaient depuis disparu. Et en plus il fit du bondage en forêt avec Carla. Cracrafi avait finit la journée par une ballade dans l’empire. Les quartiers avaient été bouclés par la milice de l’empereur, à son attention. C’est vraiment cool d’être dictateur. Rentré au palais, Cracrafi se dit, que bon, c’est peut-être l’heure de festoyer.

L’empereur :
-Tiens, j’ai une idée Cracra. Je vais appeler un de mes potes, il va mettre de l’ambiance au dîner. C’est un chanteur-comique-publicitaire. Il s’appelle Jaunit. Ce n’est pas son vrai nom mais comme il piccolait comme un porc jadis, il a choppé la jaunisse, et on l’appelle Jaunit. T’as compris la blague Cracra ?? (note : l’auteur ne sais foutrement rien du lien de cause à effet entre la piccole et la jaunisse. Mais faîtes pas chier l’auteur, il pourrait mal le prendre). Bon, je t’avertis, il est complètement con. Mais c’est pour ça qu’on l’aime. Tout le monde l’aime d’ailleurs. C’est l’idole des jeunes. Il est franco-belgo-suisso-monaco-conardo. Mais c’est un sujet très sensible.

5 minutes après le coup de fil de l’empereur à Jaunit, un bruit lourd du style : bbbrrrrrrrrrr se fit entendre depuis le jardin. C’était Jaunit qui arrivait sur sa Harley-Michelson. Puis un autre bruit du style : brrrouuuiiiicchhhtttt. Puis uuuuiiiiiiiiiiiiiii. Suivit d’un : « Optic deux milleeeuuuuuuuuhhhhhhh !!!!!!!!! ».

Cracra, rouge de colère :
-Putain, il vient de percuter ma chamelle. Une chamelle toute neuve, encore vierge. J’vais l’butter ton pote.
-Attends Cracra, je t’en paierai une autre. Mais n’oublie pas : il s’agit de l’idole des jeunes ; véritable institution à lui tout seul.

Dans le jardin. Jaunit, abasourdit par le choc, cherche ses lunettes à quatre pattes. La chamelle, elle, n’est pas au mieux de sa forme. Elle est devenue un hybride Chamelle-Michelson. Le guidon ressortant par les deux oreilles. Après un bouche-à-bouche désespéré de 10 minutes, Cracrafi dû se rendre à l’évidence : ils allaient mangé du ragoût de chamelle ce soir.
Jaunit, levant le point, tel le Che rageur :
-Optic deux milleeeuuuuuuuuhhhhhhh !!!!!!!!!
-Ah ce con, il a buggé.

A l’apéro.
-Tu vois, Cracra, l’argent n’a pas de limite pour moi. Et le pouvoir aussi. Je ne me fixerai aucun seuil de moralité pour assouvir ces deux passions.
-T’as raison mec.
-Optic deux milleeeuuuuuuuuhhhhhhh !!!!!!!!!
-L’autre jour, y’avait un grand concours d’organiser par une de mes chaînes TV. Le thème : « quelle est la chose la plus démentielle que vous seriez prêt à faire pour gagner 100€ ». Alors moi j’ai répondu : fister maman.
-HEIN ?!?
-Ben oui, fister maman
-Pour 100€ ???
-Y’a pas de petites économies.
-Optic trois milleeeuuuuuuuuhhhhhhh !!!!!!!!!
-Et alors ?
-Ben, j‘ai fisté maman.
-J’te crois pas.
-Tu veux l’appeler pour confirmer ? Jusqu'au coude. Bon j’y suis allé un peu fort. On a été obligé de lui refaire tout l’arrière et de lui coller un anus artificiel. Y’en avait un pas très cher sur e-Bay. Presque jamais servi, comme neuf. En plus, comme un con, j’avais oublié d’enlever ma Rolex. Ca a ripé sur les bords. Tiens regarde, les marques de traînées sur la montre. Tu me crois maintenant ??
-Alors-là respect mec. Pour t’exprimer ma reconnaissance, je te prends gratuitement ton vieux Charles-De-Gaulle tout amianté.
-Optic quatre milleeeuuuuuuuuhhhhhhh !!!!!!!!!
-Putain, il va la fermer sa gueule, ton pote ??

Deux steaks de chamelle et 10L de rouge plus tard.
-Hiiiips…j…j….je….rien.
-Euh, il faut…il faut…que…j’aille….aux….toitoi….toilettes. Y’a les enfants à amener à la piscine. Hips.
-Op...Op…tictictictictictic …tictictic !!!!!!!!!

Craca avait oublié, en s’asseyant sur le trône en or, que celui-ci était à la taille de l’empereur. La chute fut terrible. Et le coxis tout effrité. Mais l’alcool aide à supporter ce genre de malheur. Une chose fit beaucoup rire Cracra : le papier toilette de l’empereur représentant la déclaration des droits de l’homme. Cracra pris le rouleau entier et se torcha avec.

De retour au salon :
-Optic cinq milleeeuuuuuuuuhhhhhhh !!!!!!!!!
-Holalala, il va voir ce qu’il va prendre le naze….
Cracra, sans aucune pudeur, sorti son zob, pris la tête de Jaunit et enfourna son mastodonte dans l’oreille. L’empereur, estomaqué :
-Hohohohoho…
-T’inquiète, c’est une coutume de chez nous. Je cherche le point G du cerveau. C’est très technique. Tu vas voir, je vais le re-régler.

2-3 coups de reins plus tard :
-« Les petits pains aux chocolats, laï-laï-laï-laï ».
-Ha nan, ce n’est pas ça.
-« Je repassais mes leçons, en chantant… »
-J’y suis presque là, je sens qu’ça vient.
D’une ultime secousse, cracra transperça la tête de Jaunit, son kiki ressortant de l’autre côté.
Le sodomisé de l'oreille :
-Hein ?
-Voilà, c’est fait.
-Hein ?
-Putain, tu m’as cassé mon Jaunit. Il est tout sourd maintenant.
-Hein ?
-Bah comme ça au moins, il nous fout la paix.
-Hein ?
-Connard, je ne te parle plus.

L’empereur, vexé, en larme, tout rouge encore une fois, sortit de dessous la table une magnifique mallette en pur crocro. La mallette s’ouvrit sur un air de la Cucaraca version Mozart (à télécharger au 666 666, 50€ les deux premières secondes, 60 ensuite). Un gros bouton rouge en sortit.
-C’est quoi ? Une nouvelle gamegirl ?
-humf. I’m the fucking big boss. I’m the fucking killer in this fucking world. I’m a fucking punk. Happy Anarchy!!!!
-Hein ?
-Hein ? Merde, t’es tout bourré, ne déconne pas. On a encore de grandes choses à accomplir ensemble.

L’empereur, qui voulait déconner, fut pris d’un malaise vagal (pour les incultes, celà n'a rien à voir avec un malaise vaginal, qui se caractérise par l'endormissement du vagin et le recroquevillement de celui-ci sur lui-même. Tout pareil que pour les escargots. Tout de suite, avec l'escargot, on comprend mieux. Mais l'équivalent masculin existe, il s'agit du "bander mou"). Il s’effondra comme une pure merde sur le gros bouton rouge. Les conséquences ne se firent pas attendre. L’empire Chino-tarantino-tzariste fut rayé de la carte. Ce à quoi l’empire Ricaincain réagit en envoyant des hordes de burgers mutants détruire l’empire sudiste du grand nord. Les mers se déchaînèrent. Les pères ne furent pas très contents. Et balayèrent l’empire Ricaincain. Et ainsi de suite. Le seul empire encore debout à la fin du jeu se demanda comment il pourrait survivre sans guerre. Il décida de se suicider avec une corde Ikeeaaaaaabuurrppp. La nature repris ses droits. Les oiseaux refleurirent. Les fleurs chantèrent « la grosse bite à Dudule » toutes en cœur. Les Dauphinés libérés. Le paradis était enfin revenu sur Terre.
-Hein? Y'a kekun? On a parlé? Hého?? Dîtes kekchoses les gars.

mercredi 12 décembre 2007

Et puis tiens...



Vénération absolue...

Je suis entrain d'écouter le dernier album des Têtes raides :

Je me le suis procuré cet arpès-midi. Je savais pas en fait. Alors évidemment, je me suis jeter dessus. Je n'ai pas assez de recul pour avoir en réel jugement mais une chose est sûre : à chaque nouvel album, les Têtes raides se réinventent. Tout en restant les mêmes. Cet album n'a rien à voir avec le précédent, ni avec celui d'avant. Têtes raides, je vous aime. Oui, c'est une déclaration d'amour. Personne ne vous arrive à la cheville.

En cadeau, une petite reprise du Renard par les Têtes raides. C'était à la salle de la Cité, à Rennes, en 2006. J'y étais. 2h30 de concert. Cette reprise était leur quatrième rappel. Pour info (celà ne se voit pas sur la vidéo), pratiquement toute la salle avait déserté. Pendant 20 minutes, on a gueulé comme des boeufs après le troisième rappel. Il restait les irréductibles. C'était bon. Enorme. Merci.

Je viens de voir qu'ils passeront à Rennes le 19 mai 2008. Et pas sur Grenoble. Je crois que je vais réserver cette date.

mardi 11 décembre 2007

Partie fine au palais...(suite)....

Malaparte et Cracrafi, confortablement vautrés dans le divan. Enfin, seul Malaparte était à son aise, tous les meubles de la maison ayant été refait à sa taille. Cracrafi commençait déjà à avoir mal au dos. Mais ne nous moquons pas de la taille des gens. Ce n’est pas bo. De la taille de leur sexe, ça par contre on peut. Mais je n’ai aucune information sur ce dernier point.

-Bien bien bien bien. Et puis bien. Par quel contrat allons nous commencer ? Par celui de Mermétro ? Je t’en vends quarante pour 20 milliards. D’Isotopforfun ? Je fais une promo en ce moment : il m’en reste tout un stock pas très stable, que nous devons vendre absolument. Sinon dans trente ans, tout le monde aura trois bras….hahahahahahaha….merde, fait pas la gueule, j’déconne. Je te fais le tout, emballé dans une belle centrale pour 10 milliards. Hors main d’œuvre, of course. Et parce que c’est toi, je rajoute un aspirateur de table.
-Hé cool man, j’ne fais pas la gueule. Tu vois, je viens passer toute une semaine de vacances chez toi pour me relaxer, et toi, tu causes boulot dès le début. Je veux prendre du bon temps moi. D’ailleurs elle est où la pute qui est venue me rendre visite chez moi il y a 5 mois ? Et qui est repartie avec tous mes yaourts Bulgares ? J’ai de nouveau envie de la besogner.

L’empereur, un brin vexé, devint tout rouge cramoisi (comme les salauds de communistes après le geuleton de la fête de l'Huma) et se met à crier :
-Tu parles de ma fem…euh, de mon ex, là ? Sache, que c’est moi qui portait la culotte !! Et c’est moi qui l’ai jarretée à coups de pieds dans le cul si tu veux savoir. C’EST MOI LE CHEF !!!!!!
-Ben c’est pas ce qui ce lisait dans les torches-culs qui vous servent de journaux. Chez moi, c’est plus simple, y’en a pas de journaux.
-Sache que ce sont mes journaux. C’EST MOI QUI CONTROLE TOUT !!!!! C’était juste pour faire plaisir à la populace.
-T’énerve pas. Sinon tu vas avoir des hémorroïdes. En parlant de populace, ils y ont cru à notre histoire de yaourts bulgares ?
-Et comment, tu parles. Tous des cons. D’ailleurs ils ont voté pour moi. Enfin, sans le Borgne et les vieux, je ne serai jamais passé. Imagine, une canicule juste avant les zélections, et j’étais nické. Ha, c’te blague.

Cracrafi, de plus en plus mal à l’aise dans le fauteuil pour enfant, se curait le nez et faisait de magnifiques boulettes qu’il jetait sur la gueuse qui passait par là.
La gueuse :
-Mon empereur, que désirez vous ?
-Pour moi, ce sera un thé avec des p’tits Lu. Et une tartine à la Rolex.
- Et pour vous Mons…Mad…euh, mon dictateur?
-15 Rafales pour moi. Avec un peu de lait. Soupoudrés de tortures. Yeah ma poule.
Cracrafi ne pu s’empêcher de glisser la main entre les fesses de la gueuse. Quel romantique ce Cracrafi…

Pendant la collation.
-Comment va Vlad au fait ? Toi qui l’a vu dernièrement ?
-Superbe, pas très causant, mais quel bel homme. J’avais le zizi tout dur. Et puis comme je chauffe au gaz, je peux passer l’hiver tranquille. On s’est bien amusé. Il m’a montré comment empoisonner les journalistes. On en a chopé un…t’aurais vu la tronche du gus après. Sa peau se décollait. On en a fait des banderoles, que l’on a accrochées au plafond. C’était joli. On s’est bien marré.
-Hé, la prochaine fois appelez-moi. Vous n’êtes pas d'la gueule quand même. Pendant qu’on s’amuse, moi je me fais chier dans ma tante (les habitudes sexuelles de Cracrafi sont discutables). Et avec notre pote le Bridé ? C’était comment ?
-Différent mais très bien. C’est plus salissant. Pour les journalistes, c’est une balle dans la tête. Et on fait payer la balle à la famille bien sûr. Putain, j’ai sali trois costumes, mais j’ai gagné 15000€. Pour trois balles. Pas mal. Je pourrais participer aux prochains JO. Au tir à la carabine sur cibles journalistiques, j’ai toutes mes chances. Mais chez nous, pas besoin de ça. Les journaleux me lèchent le cul du matin au soir depuis 5 ans. C’est pourquoi j’ai l’anus qui sent bon. Je te ferai goûter tout à l’heure. Tiens, si on jouait à la Z-boîte 450 (note : la PS3 avait été bannie dans tout l’empire, pour des raisons évidentes) ? J’ai un nouveau jeu : Dictator-Buisness-School-Fuck Humanity. Je suis hyper balaise.
-Ca roule ma poule. J’vais te foutre une branlée.

Qui gagnera la partie de Dictator-Buisness-School-Fuck Humanity ?? Est-ce que Cracrafi goûtera à l’anus de l’empereur au goût de langues de journaleux, comme promis ?? Que feront-ils ensemble à la nuit tombée ?? Ben en fait, j’en sais strictement rien. Arghhhhh, le suspense est insoutenable !!!!

lundi 10 décembre 2007

Partie fine au palais...

La scène se joue au palais de l’empereur Malaparte, dans un pays imaginaire, dans une vie imaginaire. Tous ces événements ne se sont jamais produits, les conséquences en auraient été trop graves pour notre futur.

L’empereur est sur son trône en or, comme tous les matins, un paquet de mouchoirs en papier dans la main gauche (l’empereur était droitier, cela va s’en dire), et est entrain de rêvasser.
L’empereur, dans ses pensées: « haaa Adolf, mon brave Adolf, celui au destin si grand…haaaa si je t’avais rencontré….hmmmm Adolf, Adolf, ADOLF…on aurait construit ensemble l’économie de demain….hhhaaaaaa……hmmmmmmm….. ».................(pchiiiiitttt !!!!)..............

-Et merde, PUTAIN, un costume tout neuf encore tâché. Saleté de main gauche, toujours à foutre la merde, mais ça va de mieux en mieux, je commence à la dompter.
L’esclave de service, tambourinant à la porte des toilettes :
-Maître, maître, dépêchez-vous quand même !! Votre client est arrivé !!
-Qui ça ??
-Ben Cracrafi, votre nouveau client-copain.
-Ha merde, je l’avais oublié celui-là. Va donc, sale gueuse, me chercher un costume flambant neuf, j’arrive.

Pendant ce temps, sur le perron du palais, Cracrafi commence à s’ennuyer sévère. « Mais bordel, on ose me faire attendre ?!? Heureusement que c’est pour la bonne cause. J’espère au moins que la pute de l’autre fois sera là ».
L’empereur, tout fier dans son nouveau costume un poil trop grand (la couturière étant en reuteuteu, cette feignasse) :
-Cracrafi !!!! Mon ami !!! Dans mes bras !
-Je te préviens d’avance Malaparte, je pue de la gueule, impossible de trouver des chewing-gums à la gare. Un gros tas de connards bouchaient l’entrée.
-Ha oui, je sais, ils nous ont pris en otage. Viens par-là quand même. Moi-même je n’ai pas eu le temps de me laver les dents. J’étais…euh…très occupé.

D’un geste ferme et précis, Malaparte pris Cracrafi par la taille et l’embrassa langueheureusement.

-Alors, pas trop fatigué après ce long voyage ??
-Bof, tu sais, les jets privés, ça l’fait grave (note : Cracrafi était ce qu’on appelle un Dictacool. C’est le pourquoi du comment il parle « le Djeune »). Les vols tout public, par contre, ce n’est pas très sûr, je suis bien placé pour le savoir.

Et nos deux compères (en fait, personne d’eux n’était père, donc on les désignera par les deux cons), euh donc, nos deux cons, partirent en s’esclaffant bras-dessus, bras-dedans, boire un thé. L’ancien empereur, désormais à la retraite (y’avait plus de place en taule, et puis la justice est bien plus souple avec les empereurs qu’avec les voleurs de mobylettes), avait carrément vidé les stocks de Coronna.
La suite au prochain épisode. Ca va déchirer grave, comme dirait Cracrafi. Y'aura du sang et du sexe. Eloignez les vierges, les scouts et les enfants. Oui, m'sieurs-dames, les enfants et les scouts ne sont pas tous vierges. Malheureusement pour les enfants. Les scouts, euh, on s'en cogne à vrai dire. Z'avaient k'a pas être scout d'abord. Mais merde, tout l'monde le sait qu'il faut recoudre les scouts après leurs passages à la con-fesse!!! Et qui c'est qui paye le fil et les aiguilles, hein ?? Bon ok, ce sont les sous de la (ké)quête. Mais c'est hors sujet. Je reparlerai des scouts une autre fois.

dimanche 9 décembre 2007

Réconciliation avec...

...la BD? C'est vrai, depuis un moment, la bd m'apparaissait comme vraiment fadasse. Rien de bien rejouissant au niveau des sorties, toujours les mêmes merdes, de la part des mêmes éditeurs qui imposent leurs goûts de chiottes à des lecteurs de plus en plus sans goût. Peut-être que je suis trop exigeant et peut être aussi que la bd ne me fait plus le même effet qu'au début. Toujours est-il que j'ai lu dernièrement des choses que j'ai trouvées excellentes. Il y a bien sûr les séries Ratafia et Lincoln qui me font bien marrées. C'est vrai que les aventures d'un cowboy looser qui a reçu la vie éternel en cadeau et qui est à moitié alcoolo sont vraiment trippantes. Et puis, il y a ça :

On est à Dark Meat City, 17 millions d'habitants. Une ville bouffée par la misère, la corruption, les gangs, la pollution....bref, pas l'endroit où l'on aimerait passer sa lune de miel. On suit Angelino et Vinz, deux beaux loosers qui survivent par des petits boulots. Ils sont fans de catch télévisé, mangent des pizzas. Angelino élève des cafards chez lui en leur filant de la bouffe. Ils ont des tronches hallucinantes : Angelino, c'est lui, là, sur l'image du dessus. Une tête énorme, ronde, avec des yeux immenses. Vinz, lui, sa tronche c'est une tête de mort enflammée. Et puis y'a leur potte Willy, une chauve-souris avec un appareil dentaire qui leur refile toujours des bons plans (livrer des caisses au contenu inconnu écrit en russe, la nuit, dans un cartier pas gentil-gentil, par exemple). Et puis tout s'emballe le jour où Angelino, apperçoit de plus en plus des êtres assez "étranges". Des ombres. Qu'il est le seul à voir. Bref, c'est totalement barré, c'est drôle, ca bouge dans tous les coins. Les pages alternent de la couleur au noir et blanc, du papier brillant au papier mat. Un mix entre comics, manga et bd classique. C'est aux éditions Ankama. Et c'est tout simplement génial.

Ha et puis je me suis tappé l'intégrale du troisième testament ce we. Un classique que je n'avais pas lu. Très bien. Le héros Conrad Reinhardt ressemble étrangement à Sean Connery, dans je sais plus quel film. Et puis Sayn ressemble un peu trop à son frangin (j'en dis pas plus).

Et puis j'ai lu les deux premiers tomes de la quête de l'oiseau du temps (cylce "avant la quête") : pffiiuuu, que c'est bien. C'est beau en plus. J'adore. Le changement de dessinateur ne gène aucunement. Dédicace mercredi prochain à Grenoble, merci les rtt...Et en fait, j'ai raconté une connerie dans un de mes posts concernant le film : il n'est pas du tout sorti fin novembe...gros con Allocine!!!

Enfin j'ai acheté le dernier tome de Alim le Tanneur, que je n'ai pas lu. Sans exagérer, une des plus belles bd que j'ai lue pour l'instant. En plus Virginie Augustin (la déssinatrice) est vraiment sympa et fait de putains de dédicaces!!

Pendant de temps-là je rame pour finir Hypérion, que c'est long. Mais c'est bien. Mais c'est lonnnggggg...