lundi 29 juin 2009

Vieilleries...

En fouillant un peu, j'ai retrouvé ces antiquités. Putain, les gamins, hé!


dimanche 28 juin 2009

Libre-arbitre...

"J'ai besoin de me rebeller contre moi-même. C'est tout le contraire de suivre la voie de son bonheur personnel. J'ai besoin de faire ce que je crains le plus."

"Vous êtes le médium de la culture. L'hôte. Certaines personnes croient encore qu'elles dirigent leur propre existence. Vous êtes les possédés. Tous autant que nous sommes, nous hantons et sommes hantés. Obsédants et obsédés."
Chuck Palahniuk, Berceuse.

mercredi 24 juin 2009

On remballe...

Alors s'ils y'en a qui veulent venir mettre le boxon sur Grenoble, qu'ils se dépèchent. Vous avez jusqu'à fin juillet. Organisez-vous, prenez une secrétaire, j'sais pas...Je ferai un dernier tour de piste sur Rennes les 2 ou 3 premières semaines d'août, et après en route pour 6 mois à Lecce en Italie du sud et ensuite 6 mois en Crête, à Heraklion.

lundi 22 juin 2009

allez on sort sa biroute...

Souvenir grandiose de mon we d'alcoolique; d'où l'envoie de sms suspects à keks'uns. La grosse classe quand même!!

jeudi 18 juin 2009

Trip au Mt St Michel...

Comme je n'ai rien à foutre en ce moment (mais alors, vraiment que dalle de chez que dalle...), je joue avec mes photos. Tout vient du Mont. J'en ai plein d'autres, je verrai ça la semaine prochaine.




mercredi 17 juin 2009

Des étoiles plein la tête...

« J'avais demandé au tatoueur de placer trois petites étoiles près de mon oeil gauche, mais je suis ressortie avec 56 étoiles disséminées sur la moitié de mon visage »
C'est ce qu'affirme ce mardi une Belge de 18 ans, qui jure s'être endormie durant la séance et a décidé de porter plainte.
Une histoire tout à fait rocambolesque.
Kimberley Vlaeminck est femme de ménage à Courtrai (Belgique). La jeune femme est allée se faire tatouer dimanche, accompagnée de son compagnon, de son père, sa soeur et de son frère. Détail important : le tatoueur, Français, ne parle pas le flamand, la langue de la région dans laquelle il s'est installé.
"Je voulais qu'il me dessine trois petits points, mais il a proposé de faire trois étoiles, en disant que c'était bien plus beau", témoigne Kimberley Vlaeminck.
« Je lui ai explicitement signifié que je voulais 3 étoiles. Il ne parlait que français et anglais. Il a commencé son travail et je me suis endormie. », poursuit-elle.
"Je me suis réveillée lorsqu'il a commencé à me tatouer le nez et j'ai vu ce qu'il avait déjà fait. J'ai compté 56 étoiles, c'est effrayant."
Kim veut se faire enlever ses tatouages au laser. Mais cette opération douloureuse va lui coûter cher (plusieurs milliers d'euros). Elle va aussi porter plainte contre le tatoueur.
Lui nie en bloc la version de la jeune fille. Il assure qu'elle était éveillée, qu'elle n'a été ni droguée, ni hypnotisée.
"Les problèmes ont commencé quand son père et son ami ont vu les tatouages", a-t-il déclaré au journal flamand Het Laatste Nieuws.
Alors qui croire ?
Difficile de savoir qui dit la vérité, un tatoueur n'ayant aucun intérêt à tatouer 56 étoiles au lieu de 3...
Quoiqu'il en soit Kimberley est maintenant défigurée à vie.

mercredi 10 juin 2009

Chien volant...

Le chien de mes parents, c'est un peu le Totoro de ma nièce.

jeudi 4 juin 2009

L'épreuve du tonneau...

J'ai découvert une nouvelle activité pendant ma petite semaine de "vacances". Activité forte excitante. Il s'agit, du "roulage de tonneau". Ce n'est pas très joli mais je ne savais pas comment l'appeler. Le principe est fort simple : trouver un tonneau à un point A et le transporter à un point B sans encombre. Le tonneau étant la propriété d'autrui, il ne faut pas se faire gauler. Ben oui parce que aucun intérêt de faire ça avec le tonneau du grand-père...il faut un peu de challenge quand même.

Alors évidemment, il faut trouver le dit-tonneau. C'est vrai qu'il n'y en a pas à tous les coins de rues...hmmm, un bar de nuit rue St-Hélier à Rennes fera l'affaire. Alors une fois le tonneau en vue, plusieurs possibilités s'offrent à vous:
1) Partir avec le tonneau très discrètement, sans se faire remarquer. Genre le planquer dans un coin et revenir le chercher. Ha oui, j'oubliais : le "très discrètement" consiste à faire rouler le tonneau tout doucement, sans faire de bruit. On peut essayer de le mettre sur le dos sinon. On peut. Et finir aux urgences.
2) Ne pas avoir peur du ridicule. Partir comme un porc en courant avec le putain de tonneau, même si dehors il y a une vingtaine de personnes qui fument leur clope. Là, je vous assure que d'avoir 2g dans chaque poche n'est pas de trop. Et un pote qui en a autant et qui vous aide, non plus.

Si vous n'avez pas de chance, vous vous faîtes gauler au bout de 200m pas des branleurs lèche-cul qui vous prient de ramener le tonneau (car le patron, merde, il est trop sympa). Donc demi-tour, re-200m en repassant devant les gens déjà croisés à l'aller. Et là, vous avez les nerfs. Vous vous dîtes que ce n'est pas juste, que vous y étiez presque et paf, pas de bol. Limite la larme à l'oeil. Donc basta.

Et puis, des fois c'est la vierge qui apparait à des gens. Nous, c'était des tonneaux. L'illumination!! Un deuxième tonneau à même pas 100m du premier. Il faudrait rebaptiser la rue St-Hélier, la "rue des tonneaux". Et je crie "VENGEANCE!!". Et c'est reparti pour un tour. Si vous n'avez pas vraiment de bol, vous vous faites prendre une deuxième fois. On n'a vraiment pas eu de bol. Et pourtant on était aller bien loin il me semble. Donc encore demi-tour, l'air penaud. Obliger de revoir notre stratégie, car on le voulait notre tonneau. 10 minutes d'attentes, planqués de l'ennemi, comme au Vietnam. Reprise du tonneau une dernière fois. On se plante de route, on finit dans un cour intérieure, on rebrousse chemin, prend la bonne route, on se prend des murs car le tonneau y peut pas avancer droit, nous non plus d'ailleurs. On n'est pas très discret, on tombe sur un vietcong qui fume sa clope. On laisse l'affaire, on en a plein l'cul, et puis merde, on y retourne une toute dernière fois, mais on n'y croit plus, plus l'envie, un camarade blessé qui s'est entayé la main (tiens bon, l'hélico va venir te chercher), un dernier tour de piste, et on baptise le tonneau dans la Vilaine. Bonne route à toi, Tonneau. Et à la prochaine....