lundi 10 décembre 2007

Partie fine au palais...

La scène se joue au palais de l’empereur Malaparte, dans un pays imaginaire, dans une vie imaginaire. Tous ces événements ne se sont jamais produits, les conséquences en auraient été trop graves pour notre futur.

L’empereur est sur son trône en or, comme tous les matins, un paquet de mouchoirs en papier dans la main gauche (l’empereur était droitier, cela va s’en dire), et est entrain de rêvasser.
L’empereur, dans ses pensées: « haaa Adolf, mon brave Adolf, celui au destin si grand…haaaa si je t’avais rencontré….hmmmm Adolf, Adolf, ADOLF…on aurait construit ensemble l’économie de demain….hhhaaaaaa……hmmmmmmm….. ».................(pchiiiiitttt !!!!)..............

-Et merde, PUTAIN, un costume tout neuf encore tâché. Saleté de main gauche, toujours à foutre la merde, mais ça va de mieux en mieux, je commence à la dompter.
L’esclave de service, tambourinant à la porte des toilettes :
-Maître, maître, dépêchez-vous quand même !! Votre client est arrivé !!
-Qui ça ??
-Ben Cracrafi, votre nouveau client-copain.
-Ha merde, je l’avais oublié celui-là. Va donc, sale gueuse, me chercher un costume flambant neuf, j’arrive.

Pendant ce temps, sur le perron du palais, Cracrafi commence à s’ennuyer sévère. « Mais bordel, on ose me faire attendre ?!? Heureusement que c’est pour la bonne cause. J’espère au moins que la pute de l’autre fois sera là ».
L’empereur, tout fier dans son nouveau costume un poil trop grand (la couturière étant en reuteuteu, cette feignasse) :
-Cracrafi !!!! Mon ami !!! Dans mes bras !
-Je te préviens d’avance Malaparte, je pue de la gueule, impossible de trouver des chewing-gums à la gare. Un gros tas de connards bouchaient l’entrée.
-Ha oui, je sais, ils nous ont pris en otage. Viens par-là quand même. Moi-même je n’ai pas eu le temps de me laver les dents. J’étais…euh…très occupé.

D’un geste ferme et précis, Malaparte pris Cracrafi par la taille et l’embrassa langueheureusement.

-Alors, pas trop fatigué après ce long voyage ??
-Bof, tu sais, les jets privés, ça l’fait grave (note : Cracrafi était ce qu’on appelle un Dictacool. C’est le pourquoi du comment il parle « le Djeune »). Les vols tout public, par contre, ce n’est pas très sûr, je suis bien placé pour le savoir.

Et nos deux compères (en fait, personne d’eux n’était père, donc on les désignera par les deux cons), euh donc, nos deux cons, partirent en s’esclaffant bras-dessus, bras-dedans, boire un thé. L’ancien empereur, désormais à la retraite (y’avait plus de place en taule, et puis la justice est bien plus souple avec les empereurs qu’avec les voleurs de mobylettes), avait carrément vidé les stocks de Coronna.
La suite au prochain épisode. Ca va déchirer grave, comme dirait Cracrafi. Y'aura du sang et du sexe. Eloignez les vierges, les scouts et les enfants. Oui, m'sieurs-dames, les enfants et les scouts ne sont pas tous vierges. Malheureusement pour les enfants. Les scouts, euh, on s'en cogne à vrai dire. Z'avaient k'a pas être scout d'abord. Mais merde, tout l'monde le sait qu'il faut recoudre les scouts après leurs passages à la con-fesse!!! Et qui c'est qui paye le fil et les aiguilles, hein ?? Bon ok, ce sont les sous de la (ké)quête. Mais c'est hors sujet. Je reparlerai des scouts une autre fois.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Alors là, moi je m'incline bien bien... enfin pas trop bas quand même, faudrait pas pousser... mais un grand bravo tout de même! Vivement la suite... puis les soucis des scouts je suis sur que notre nain bleu de service se fera un joide de s'en occuper... apres sauver les infirmieres bulgares, rescaper la betancourt, prochaine etape... elargir les idées de notre chere jeunesse bien aimée... bah oui vu que tous les curés sont en prison...

Anonyme a dit…

Je le savais...mais oui je le savais que tu ne tiendras pas. Je l'ai senti venir depuis hier soir cet article. Tout ça, parce que le gars il a des Rayban mieux que les tiennes.
Mais c'est pour ça que je t'aime. Attention...je suis moins naïf qu'un scout.
Sinon, je mise tout sur la libération de Bétancourt avant noël...histoire que le peuple verse une larme qui lui fera moins sentir le maigre repas de noël...
On l'a voulu et on l'a eu notre grand coup dans le cul.

Anonyme a dit…

ho oui, Ingrid pour noël, avec une jolie guirlande clignotante autour du coup et une dinde sous l'bras. Ca va faire chialer dans les chaumières. Merci Nicolas, notre Sauveur, l'Elu du peuple.

Anonyme a dit…

héhéhé... :p j'me disais bien aussi... bizarre que niko réagisse pas
"Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé serait fortuite et indépendante de la volonté de l'auteur"?
;) vivement la suite