dimanche 16 mars 2008

Freaks of the heartland...

J'ai trouvé ce comics absolument par hasard. J'ai accroché sur la couverture (qui est découpée au niveau du perso. central, mais celà ne se voit pas sur la photo). Et en feuilletant rapidement j'ai encore davantage accroché. L'univers graphique est génial et contribue en grande partie à l'atmosphère lourde, presque suffocante de la bd. C'est ce que je pourrai appeler une bd d'ambiance.
C'est une histoire fantastico-noire bien frappée, un one-shot en plus. Dans un village paumé de l'Amérique profonde (début des années 20 je pense), les villageois traîne une malédiction de tous les diables. En effet, ils prennent bien soin d'enfermer à double tours dans leurs caves certains enfants nés avec des malformations, et qui ont semble-t-il quelques pouvoirs. Mais point de supers héros, attention. Et en plus ces enfants sont nés la même semaine. Alors ça flippe grave, au village, et on éssaie d'oublier. Jusqu'au jour ou Trevor, le frère d'un des affreux gamins, décide de libérer son frangin, et par la suite les autres bambino. Et de les protéger car bien sûr ces ploucs de villageois ne vont pas laisser faire et vont sortir leurs 22 long rifle.
Au final, on n'apprendra rien de l'histoire du village et des gamins, ce qui apporte encore plus d'interêt à ce comics. Mais il y a un je-ne-sais-quoi qui manque, j'ai pas réussi à trouver, pour faire passer ce comics de très bien à grandiose. Peut-être la brieveté de la bd.
En tous cas, les amateurs de Stephen King vont vraiment apprécier.
Petit apperçu :



4 commentaires:

Anonyme a dit…

hmmm, t'as déjà fini de la lire?
Et Transmetropolitan, tu l'as acheté?
Tchuss

Anonyme a dit…

Ouais, ça se lit assez vite comme bd. Transmetropolitan, nan pas encore acheté, sûrement demain car demain c'est reuteuteu pour moi alors...c'est comment?

Anonyme a dit…

Je viens juste de commencer, entre temps j'ai lu GUS (l'auteur d'Isaac le pirate).

Anonyme a dit…

GUS c'est sympa mais pas au niveau d'Isaac le pirate je trouve. Ca reste très bien ceci-dit.